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Arriver au port et relier son embarcation, lorsqu’on est seul à ces coté, ou que le compagnon s’occupe des plus jeunes est ordinairement un petit bon moment de stress lors des premières navigations…voire encore plus tard. Avec des équipiers, l’intervention d’amarrage est quelquefois populaire. Alors lacer son bateau, quand les seules dont nous disposons sont…les nôtre, est une agissements qui demande préparation et acompte. Naviguer en solitaire demande de l’anticipation et de la préparation. lorsqu vous souhaitiez amarrer votre bateau au terrasse, sur corps défunt ou le long d’un quai, certaines règles seront éternellement les mêmes.lorsqu vous arrivez dans un port que vous ne savez pas, vous ne savez pas tout le temps par quel motif vous allez être amarrés, ni à quel site. Vous devez à ce titre créer vos pare-battages pour faire face à toute éventualité. Notamment dans un port à marées. en ce qui concerne la création, installez 2 pare-battages ( voir trois selon les la taille du bateau ) sur chaque bord, et à altitude différentes. Dans le même temps, conservez en un supplémentaire que vous gardez avec vous dans le nef, à portée de main. Ce dernier, dans la bonne idée, sera équipé d’une attache ponctuel pour ne pas perdre du temps durant la manœuvre. Les pare-battages plats sont activités pour les catways.Déterminez bien votre budget total. L’achat du bateau est une chose mais les frais à prévoir ne devront pas être oubliés. Qu’ils soient immédiats ou à souhaitez dans les années futures ( manoeuvre, voilage, moteur….. des postes très dispendieux ), l’entretien d’un barque peut vite faire manger son blé en herbe la facture. Dernière chose à anticiper, les frais annuels. Ces frais réguliers sont la protection, la place de lieu, l’hivernage et l’équipement, ainsi que la place de port, fréquemment trop sous appréciée. Le véritable prix d’un barque est plus élevé que son fondamental prix d’achat.Le hors-bord arrivant à la place présomptive, le mouvement va pouvoir aborder. Deux options, vous possedez une place sur catway ou alors le long d’un mole. si l’intervention n’est pas la même, les grands principes sont identiques. Nous avançons mettre séparément le cas d’un quai qui demande des mesures annexes avec les marées. Cela fera l’objet d’un futur la publication. Pour commencer, chaque barque ayant des réactions différentes. Lors de vos premières marine, il est utile de faire des manœuvres au moteur, près d’une bouée par exemple. Oui on se demandera sans doute ce qui vous arrive…mais les vieux loups de mer l’auront compris eux… Ceci vous permettra de bien connaître le comportement du bateau, contrôler sa marche arrière, …En navigation en escorte familiale ou encore non amariné, demandez le minimal à l’équipage, soyez autonome. Ce qui n’empêche pas d’apprendre aux autres les manœuvres. Mais cela peut éviter les mots un peu fortes sur le catway…. et de illuminer. Un skipper se fera plus noter en perçant qu’en capotant sa manœuvre… En arrivante au port, retenez deux choses. Sachez entièrement d’ou vient le souffle et comment est le début. si vous n’observez pas un de ces 2 pièces, vous ne maîtriserez pas votre bateau et louperez l’effort d’amarrage.Pour l’histoire théorique, à bon droit de 5h de préparation hebdomadaire ( moins d’une 13 minutes tous les jours ), rêvez environ 2 mois afin d’être paré à passer l’examen doctrinal en mer et fluvial. 75% du temps destiné au en mer, 25% pour le fluvial. Pour l’histoire bénéfiques, il n’y a pas d’examen en tant que tel, mais une confirmation des compétences par le écran de contrôle de bateau-école au gré de un programme de formation. Cette consultation doit durer 3h dont 2h de navigation.
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