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Dans les années 70, beaucoup d’experts et de scientifiques empruntent la ode d’alarme quant à l’impact de l’activité des hommes dans le monde. Depuis la création industrielle, notre société a gouter une croissance inouï, toutefois sans vraiment en évaluer les problèmes de l’évolution de son style de vie. Mais de quelle manière certifier dans le futur l’accès à l’alimentation et à l’eau consommable, à la santé et à l’éducation pour tous ? Comment assurer la protection de la biodiversité et combattre l’équipement climatique ?C’est la capacité de notre entreprise à certifier le bien-être de tous ses habitants. Ce confort se traduit par la possibilité pour la majorité des mortels, d’accéder, quel que soit son autonomie financière, aux attentes essentiels : façon de consommer, logis, santé, accès comparable au travail, sûreté, apprentissage, rectilignes de la personne, culture et jouissance, etc. Parmi les indispensables problématiques sociaux, les questions suivantes ont été identifiées : Lutter contre l’exclusion et les ségrégation, c’est-à-dire respecter et conserver les personnes les plus réduites ( en situation de handicap, avancées, minoritaires… ), donner l’entrée aux intègres sociaux pour tous :La tendance dite d’application sert à à guerroyer le origine moral des compagnies traditionnelles parfois millénaires sous prétexte de choix. dès lors ce soubassement à présent relatif, il est évincé par un contrat individuel ou européen librement consensuel et panzer par la justice et la police. Mais quid de la liberté des individus, entreprises, collectivités et gens ne qui peuvent recourir à en autonomies et pour quoi l’unique chaîne proposé avec la société est un contrat d’usure ? Ai-je le discernement d’épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans agencer mes économies à intérêt ? Puis-je me installer, analyser, bosser sans gagner des intérêts ? Le séquelle d’une morale à notre communauté serait l’interdiction à la place de l’obligation de l’usure en fonction d’une économie qui nous permette d’être en euphonie avec la nature dont nous dépendons. malgré le danger d’être un mors à un « synchronisme pérenne », les Nations Unies ont pour obligation de transvaser leurs révélations car pour les actuel d’une économie basée sur le prêt à intérêt, « développement pérenne » se traduit par « croissance pérenne » puisque l’illustre le harangue de Jacques Attali, conseillé d’Etat : «… La fonction de l’homme sur la planète est de générer des richesses… Transformer la Nature ça ne fait pas de mal, la Nature n’est pas bonne en soi. Plus encore, la Nature est l’ennemie de l’Homme. quand on admet que l’abondance ça ne fait pas de mal et que la calamité ce n’est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la commune, on raffole ce que l’Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la second chose qui est très profonde dans cette conception est le rapport à la vie qui modifie fortement : si on admet que le tapage est l’abondance ainsi il faut qu’à tout prix que tout soit réitératif puisqu’il ne faut pas épargner d’argent. dans le cas où, ainsi, on admet que l’abondance n’est pas un dysfonctionnement mais qu’il faut l’assumer de ce fait la séance devient un allié et non plus un ennemi. Le temps ne doit plus être cyclique il avance et l’Homme demeure l’histoire du temps et utilise la séance comme une ressources. Dans le premier cas la séance surtout ne doit rien servir parce qu’il ne faut pas que la séance soit utile, en complet pas d’intérêt. Alors que dans le dernier cas la séance a de l’indice puisqu’il est le barre sur lequel s’inscrit la réparation de l’univers défectueux que Dieu nous a laissé et ici l’intérêt à un sens »[6]. si la morale prescrite par les conséquentes fabrique trans nationales était concrètement débattue, il serait possible qu’un tel briefing soit minoritaire et que la garantie de l’équilibre d’une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l’unanimité. Cela parce que l’usure est condamné par certains agronomie et interdite par les opinion. On peut citer Aristote : ‘ l’intérêt est des finances issu d’argent, et c’est de toutes les acquisitions ce que est la plus contraire à la nature ‘ [7], ou alors l’interdiction de l’usure dans les intègres civils de l’Ancien Régime, par les foi asiatiques et les supports textuels fondateurs des trois monothéismes.Le projet de développement pérenne est axiomatisé en 1987 à l’occasion des chantiers de la Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement, dans le rapport Brundtland, du nom de la présidente de la escompte. Le expansion pérenne se positionne du fait que ‘ une propagation qui répond aux recours au présent sans user la prouesse générationnel prochaines à réagir aux leurs ‘. Le extension pérenne se résume pour certains à un concept écologique. Cela signifie que les procédé d’évolution de nos entreprises doivent s’inscrire dans le temps sans modifier les capacités des écosystèmes qui subviennent à leurs besoins, pour laisser aux générations prochaines un principal indemne. Le développement pérenne entraine donc d’exploiter les avoir naturels à un cadence qui n’entraîne pas leur paupérisation, et même leur langueur mais rend possible le conserve innombrable de la productivité biologique de la biosphère.L’économie est le moteur du développement durable car elle permet l’amélioration des conditions sociales, en tenant compte les contraintes que pose la sauvegarde de l’environnement. Le moyen entre ces trois composantes engendre les trois caractéristiques du développement durable : équitabilité, durabilité, vivabilité. Le extension durable entraîne des problématiques lieu et globales, qui pourront être résolues en mâchant le développement globalement, tout en efficient localement.Fondamentalement, le expansion pérenne vise à améliorer le paix intérieur humain en tenant compte des contraintes environnementales et des avoir, afin de ne pas risquer une perte de ce plaisir dans le futur, notamment de par la invalidité environnementale des pme mais pas uniquement. Ainsi les préoccupations d’inégalités et de justice sont très présentes dans cette notion. Comme l’affirme le 1er principe de la Déclaration de Rio : » Les individus sont au cœur du développement pérenne «. Le respect de l’environnement est donc utilitaire pour le expansion pérenne, et non une valeur en soi.